031121 À la rencontre des entreprises du territoire (module 1)

  • Dates des cours : 7nov-14nov-21nov-28nov-5déc-12déc
  • Heure de début du cours : 14:00
  • Heure de fin du cours : 16:00
  • Jour du cours : Jeudi
  • Intervenant : ATFM - Jean LEBOUVIER et Jacques DUPOIRON


Jean LEBOUVIER et Jacques DUPOIRON de l’Association pour la valorisation des Territoires Fluvio-Maritimes (ATFM)

L’objectif premier de ce module est la découverte de l’extraordinaire richesse du patrimoine industriel de l’estuaire de la Loire et de ses activités artisanales depuis leur origine à nos jours à travers les archives du Conservatoire de l’Industrie de l’Estuaire de la Loire (CIEL). Dans une démarche pédagogique active afin de mieux comprendre le présent et les évolutions en cours dans le tissu industriel du département, qui figure parmi l’un des plus dynamiques de France, nous irons à la découverte de plusieurs expositions, dont celles sur le « Bicentenaire des forges de Basse-Indre » et sur le « Bicentenaire de la boîte de sardine ».

Dans un 2ème temps, les visites concerneront les entreprises spécialisées dans le traitement des déchets ménagers et des eaux usées domestiques (collecte, traitement, réutilisation) à l’échelle de Nantes Métropole. Face aux défis qui nous attendent (raréfaction des matières premières, des ressources en eau disponible), n’est-il pas urgent d’adopter le modèle de l’économie circulaire pour la production de biens et services de manière durable en limitant la consommation et les gaspillages des ressources naturelles ainsi que la production de déchets non réutilisables ? Ces rencontres seront l’occasion de dialoguer et d’obtenir certaines réponses à nos interrogations.

Ce programme comprend 2 séances en salle dont la première, la visite commentée du CIEL et ses expositions, puis de 3 entreprises.

Un programme plus détaillé des modules de cours 1 à 3 sera disponible début septembre sur le site https://atfm.fr/nos-modules-de-cours-a-luniversite-permanente/

Le nombre d’inscriptions à ce programme est limité à 14 personnes afin que les visites se déroulent dans les meilleures conditions possibles d’écoute et de dialogue.

 

S'inscrire

031122 À la rencontre des entreprises du territoire (module 2)

  • Dates des cours : 9janv-16janv-23janv-30janv-6févr-27févr
  • Heure de début du cours : 14:00
  • Heure de fin du cours : 16:00
  • Jour du cours : Jeudi
  • Intervenant : ATFM- Martial CATHERINE et Jean LEBOUVIER


Martial CATHERINE et Jean LEBOUVIER de l’Association pour la valorisation des Territoires Fluvio-Maritimes (ATFM)

La découverte des techniques de production, des modes de commercialisation, des projets de développement, des stratégies d’adaptation et d’innovation de l’entreprise nous entraînera au cœur de belles PME proches de nous et pourtant peu connues du grand public.

Après une première réunion en salle, nous irons à la rencontre de 5 entreprises artisanales très diverses et de leurs dirigeants. Ces rencontres ont pour objectif d’échanger avec des acteurs impliqués dans la stratégie d’innovation du territoire afin de mieux comprendre les évolutions en cours face aux lourdes contraintes actuelles (raréfaction des ressources énergétiques fossiles, augmentation des coûts de l’énergie, transition vers un monde plus soucieux de la biosphère (monde du vivant). En effet, nos économies et nos sociétés mondialisées dépendent entièrement des écosystèmes et de la préservation des ressources naturelles, ce capital si précieux.

Le nombre d’inscriptions à ce module de cours est limité à 14 personnes afin que les visites se déroulent dans les meilleures conditions possibles d’écoute et de dialogue.

Un programme plus détaillé des modules de cours 1 à 3 sera disponible début septembre sur le site https://atfm.fr/nos-modules-de-cours-a-luniversite-permanente/

 

S'inscrire

031123 À la rencontre des entreprises du territoire (module 3)

  • Dates des cours : 6mars-13mars-20mars-27mars-3avr-24avr
  • Heure de début du cours : 14:00
  • Heure de fin du cours : 16:00
  • Jour du cours : Jeudi
  • Intervenant : ATFM - Jean LEBOUVIER et Jacques DUPOIRON


Jean LEBOUVIER et Jacques DUPOIRON de l’Association pour la valorisation des Territoires Fluvio-Maritimes (ATFM)

Après une première réunion en salle, nous irons à la rencontre de 5 nouvelles entreprises et de leurs dirigeants. Ces rencontres ont pour objectif d’échanger avec des acteurs impliqués dans une stratégie d’innovation permettant d’anticiper et de saisir les opportunités face aux lourdes contraintes actuelles (environnementales, augmentation des coûts et raréfaction des ressources énergétiques fossiles). C’est l’occasion d’interroger ces acteurs économiques sur leur démarche vers une économie circulaire ou de type RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) en contribuant aux enjeux du développement durable et de la nécessaire « transition écologique ».

Le nombre d’inscriptions à ce module de cours est limité à 14 personnes afin que les visites se déroulent dans les meilleures conditions possibles d’écoute et de dialogue.

 

Un programme plus détaillé des modules de cours 1 à 3 sera disponible début septembre sur le site https://atfm.fr/nos-modules-de-cours-a-luniversite-permanente/

 

S'inscrire

032001 L’Afrique et les défis du 21ème siècle

  • Dates des cours : 10oct-7nov-21nov-5déc-19déc-16janv-30janv-27févr-13mars-27mars-24avr-22mai
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 12:00
  • Jour du cours : Jeudi
  • Intervenant : La Maison de l\'Afrique


La Maison de l’Afrique à Nantes (cours dans les locaux de l’UP)

Que fait et fera l’Afrique des aspirations légitimes de ses populations en ce 21ème siècle ? En plus d’être confrontée aux enjeux stratégiques et géopolitiques mondiaux, l’Afrique doit en même temps faire face aux nombreux défis qui s’imbriquent et conditionnent son « développement ». Cette série de cours de 24 heures tente d’explorer parmi ces défis, ceux liés à l’éducation, à la santé, à la démographie, à la culture et au cultuel, à l’environnement et au climat, aux numériques et à l’économie.

Ces cours sont ouverts au grand public, à celles et ceux qui souhaitent découvrir ou approfondir leurs connaissances sur l’Afrique.

 

Les intervenants :

      • Alfred Romuald Gambou (enseignant-chercheur en Philosophie de l’éducation, Université Catholique de l’Ouest de Nantes, membre du CA et référent pôle éducation de La Maison de l’Afrique à Nantes) interviendra lors du premier cours pour une introduction générale sur l’Afrique, ses défis contemporains, expliquer le choix de la problématique de cette série de cours, ses orientations et les modalités de leur déroulement (2h). Date : 10 octobre 2024.
      •  Michel Gakomo (économiste et membre du CA de La Maison de l’Afrique à Nantes) : « L’Afrique face aux défis du numérique : quel est le positionnement de l’Afrique sur la 4ème révolution industrielle ? Le numérique, une chance pour l’Afrique ? » (4h) Dates : 7 et 21 novembre 2024.
      •  Carl KILO (Ingénieur Agronome spécialisé en management de l’environnement) : « L’impact du changement climatique sur la santé en Afrique » ( 2h). Date : 5 décembre 2024
      • Sylvain Meuris (professeur, Gynécologue-Obstétricien, Doyen honoraire de la faculté de Médecine, Université Libre de Bruxelles) : « Natalité, Mortalité et Perspectives de Développement en Afrique ». (2h). Date : 19 décembre 2024
      •  Jacques Barrier (professeur en Médecine, Université de Nantes et Président de l’association MUVACAN) : « L’Afrique subsaharienne face aux catastrophes sanitaires. Conséquences psychosociales et perspectives.  (2h). Date : 16 janvier 2025.
      •  François Moulinier (ingénieur de formation, il a travaillé toute sa vie dans la sidérurgie, plus particulièrement les aciers inoxydables) : « L’art, sublime expression du sublime dans la pensée africaine » (2h). Date : 30 janvier 2025.
      • Dominique Franchot (ancien Directeur de Ressources Humaines des groupes français à vocation internationale : agro-alimentaire, automobile, BTP, Métallurgie-Sidérurgie -Chimie-Mines) : « L’avenir des sociétés africaines face aux bouleversements géopolitiques internes : le cas du Gabon. » (2h). Date : 27 février 2025
      •  Michel Gakomo (économiste et membre du CA de La Maison de l’Afrique à Nantes) : « L’Afrique et son intégration économique : la ZLECAF, enjeux et perspectives ». « L’avenir appartient aux grands ensembles, l’Afrique est-elle bien partie pour réussir son intégration ? Quels sont les écueils à éviter et les difficultés à surmonter ? » (4h) Dates : le 13 et 27 mars 2025.
      • Alfred Romuald Gambou (enseignant-chercheur en Philosophie de l’éducation, Université Catholique de l’Ouest de Nantes) : « L’Afrique et les enjeux du développement : à quelle conception de l’Homme peut-elle recourir ? » (4h). Dates 24 avril et 22 mai 2025. 

       

       

S'inscrire

032301 Géohistoire des îles Galapagos, de l’isolat écologique au laboratoire de la mondialisation

  • Dates des cours : 10oct-17oct-7nov-14nov-21nov-28nov
  • Heure de début du cours : 10:30
  • Heure de fin du cours : 12:30
  • Jour du cours : Jeudi
  • Intervenant : Christophe GRENIER


COURS SUPPRIME / information du 23 sept 2024

Christophe GRENIER

Ce cours a pour objet de montrer comment l’archipel des Galapagos est passé d’une position d’isolement écologique sur la Terre à des situations successives dans le Monde qui en ont fait un laboratoire géographique de la mondialisation. Je travaille depuis trente ans sur les Galapagos, où j’ai effectué de nombreuses missions scientifiques, où j’ai séjourné deux fois en 1992-1994 dans le cadre de mon doctorat en géographie puis en 2008-2011 en tant que créateur et premier directeur du département de sciences sociales de la Station de Recherche Charles Darwin. Ce cours est illustré par des graphiques et des cartes tirés pour la plupart de mes publications scientifiques, ainsi que de photos personnelles des Galapagos prises au cours des trente dernières années.
Le cours se divise en six séances de deux heures chacune (il se peut cependant que certaines séances soient plus longues ou plus courtes sans que cela porte à conséquence), et il suit le plan suivant.

La première séance est consacrée à l’histoire naturelle des îles Galapagos et comprend deux parties. La première traite du cadre physique d’un archipel de 8000 km2 composé d’une douzaine d’îles et de plusieurs îlots, et situé sous la ligne équinoxiale à 1000 km des côtes de l’Équateur, pays auquel il appartient. J’exposerai son volcanisme de « point chaud » qui donne leur configuration aux îles, sa position à la croisée de trois courants océaniques qui expliquent les prodigieuses diversité et abondance de leur vie marine comme l’aridité de leurs littoraux, et son climat où alternent une longue saison sèche et une courte saison des pluies, alternance régulièrement perturbée par le phénomène du Niño. Ce cadre physique a donné lieu à une marqueterie d’écosystèmes terrestres en fonction de la superficie et du relief des îles, de l’exposition des versants des îles aux alizés et de l’étagement bioclimatique des îles hautes ; les courants marins et les remontées d’eaux profondes ont aussi créé une mosaïque d’environnements marins dans les eaux de l’archipel. Sur terre comme en mer, ces conditions expliquent les diversités et spécificités biologiques des Galapagos, ce qui est l’objet de la seconde partie. Celle-ci expose comment certaines populations végétales et animales ont pu coloniser naturellement cet archipel, et pour certaines d’entre elles y former des espèces qui lui sont endémiques, dont les tortues terrestres, « pinsons de Darwin » et iguanes marins sont des exemples emblématiques. Ces endémismes résultent d’un processus évolutif que les naturalistes appellent « spéciation géographique », qui désigne la formation d’une nouvelle espèce par isolement écologique et dont nous verrons l’intérêt pour une analyse géographique de la diversité biologique terrestre comme de son érosion en temps de mondialisation. Enfin, je préciserai le rôle des Galapagos dans la théorie de l’évolution de Darwin.

La seconde séance commence par la présentation de quelques notions de géographie nécessaires pour ce cours. Elle est ensuite consacrée à la géohistoire des Galapagos des XIXe et XXe siècles, au cours desquels les ressources de l’archipel sont d’abord intensément exploitées par les baleiniers américains et les colons équatoriens alors que des expéditions scientifiques occidentales parcourent les îles, avant de devenir une base militaire états-unienne puis un parc national sous patronage international. J’établirai enfin comment l’Etat équatorien a utilisé la conservation de la nature pour intégrer réellement les Galapagos au territoire national, par le biais du développement économique – en particulier du tourisme – et de l’immigration en provenance du continent.

La troisième séance est dédiée aux caractéristiques de la conservation de la nature – institutions, politiques, programmes – aux Galapagos entre les années 1960 et 1990. Créée en 1959 en même temps que le Parc National des Galapagos (PNG), la Fondation Charles Darwin (FCD) est une institution internationale chargée de conseiller l’Etat équatorien sur la conservation de l’archipel. La FCD organise la mise en tourisme de l’archipel selon la modalité du tourisme de croisière qui domine au cours des trente années suivantes, et des programmes conservationnistes surtout axés sur l’éradication d’espèces introduites et la protection ex situ d’espèces endémiques menacées. Par le biais de la Station de Recherche Charles Darwin, sa base dans l’archipel, la FCD décide aussi des recherches naturalistes autorisées aux Galapagos et accueille de nombreux scientifiques en mission. Quant à la Direction du Parc National Galapagos, cette administration équatorienne n’a été créée que dix ans après le PNG et ne dispose que de très peu de moyens jusqu’aux années 1990, rendant la conservation de l’archipel peu efficace bien qu’elle soit considérée comme un modèle mondial. Je ferai enfin la critique de ce que j’ai qualifié de « conservation contre nature » aux Galapagos.

La quatrième séance porte sur la crise des années 1990, dont j’ai été témoin lors de mon premier séjour dans l’archipel, crise politique, sociale et économique qui est la matrice des Galapagos actuelles. Au début des années 1990, l’Etat équatorien a voulu empêcher le développement d’un secteur touristique terrestre dans l’archipel alors que la pêche aux holothuries, en principe interdite parce qu’elle provoquait d’importants dégâts écologiques en mer et sur terre, y connaissait un boom. Cela a engendré de très fortes tensions entre, d’une part, le secteur conservationniste allié aux entreprises de tourisme de croisière et, d’autre part, les représentants politiques insulaires alliés aux pêcheurs locaux et aux entrepreneurs du tourisme basé dans les centres peuplés de l’archipel. Cette crise sera surmontée grâce à une entreprise de résolution de conflits qui aboutira au vote par le Congrès équatorien de la « Loi Organique de Régime Special des Galapagos » en 1998. Cette loi comporte diverses dispositions qui font des Galapagos un territoire en partie autonome au sein de l’Equateur, et qui ont conforté la montée du « galapagueñismo », un sentiment d’identité insulaire fondé sur la volonté d’appropriation des ressources halieutiques et touristiques de l’archipel au profit des acteurs locaux.

La cinquième séance est consacrée à l’examen de l’ouverture géographique contemporaine des Galapagos, conséquence d’une croissance illimitée du tourisme dans l’archipel. J’exposerai l’évolution des modalités du tourisme actuel et ses principales caractéristiques, notamment à travers la présentation des résultats de recherches effectuées lors de mon second séjour dans l’archipel. Nous verrons ensuite les effets écologiques et géographiques de la large ouverture des Galapagos sur le Monde : invasions biologiques et homogénéisation écologique, croissance continue des moyens de transports aériens et maritimes entre l’archipel et l’Equateur continental, augmentation générale de flux de toute sorte entrant dans les îles, etc…

Enfin la dernière séance porte sur l’intérêt des Galapagos comme laboratoire de la mondialisation. En effet, cet archipel permet d’observer et d’analyser comment une région dont la singularité biologique provient de son long isolement a été progressivement mais de plus en plus largement ouverte sur le Monde avec, comme conséquence, une diminution rapide de ses particularismes écologiques. Or, d’une part il existe de nombreux cas de processus similaires dans le Monde actuel, et d’autre part ils concernent aussi des régions où des cultures et des géographies singulières sont menacées par la mondialisation. Aux Galapagos, le genre de vie de la population insulaire comme le tourisme pratiqué peuvent être qualifiés de «globaux », car ils concourent à développer l’homogénéisation géographique de l’archipel. Je terminerai ce cours par quelques idées pour contrer cette évolution destructrice de la diversité terrestre.

 

Résumé de carrière : Je suis maître de conférences HDR (Habilité à Diriger des Recherches) en géographie à Nantes Université, lauréat de la médaille de bronze du CNRS, et je travaille sur la mondialisation et la conservation de la nature à partir de divers terrains de recherches dans le monde. J’ai effectué de nombreuses missions scientifiques aux Galapagos, où j’ai séjourné deux fois, en 1992-1994 dans le cadre de mon doctorat puis en 2008-2011 comme premier directeur du département de sciences sociales de la Fondation Charles Darwin.

 

 

 

032501 Mers et océans au coeur des enjeux mondiaux

  • Dates des cours : 23janv-30janv-6févr-27févr-13mars-20mars
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 12:00
  • Jour du cours : Jeudi
  • Intervenant : Jean-Pierre POISSON


Jean-Pierre POISSON

ATTENTION, le 20 mars remplace le 6 mars INFO du 6 janvier 2025

« C’est la mer qui nous unit », ce slogan d’une banque pourrait être le point de départ de ce cours afin de vérifier la validité de cette affirmation.

Les espaces maritimes  couvrent 72% de la planète et recèlent d’importantes ressources qui nous sont indispensables. 90 % des marchandises transportées dans le monde le sont par des navires. L’essentiel de nos connections Internet dépendent des câbles sous-marins. 70% de la population mondiale vivent sur les littoraux. Et les mers n’ont pas encore dévoilé toutes leurs potentialités.

Depuis longtemps se posait  la question de la propriété de la mer.  Il y a une quarantaine d’années, les États y ont répondu en mettant en place un droit maritime international. Il n’empêche, les rivalités sont bien présentes à la fois pour affirmer des souverainetés et pour exploiter les ressources marines. Dans un contexte de réchauffement climatique, de dégradation de l’environnement et d’épuisement des ressources, la militarisation des espaces maritimes s’accélère, des tensions montent et font parfois craindre le pire.

D’autres mesures de gouvernance mondiale sont attendues pour empêcher ces tensions, pour protéger la mer mais aussi pour se protéger d’elle.

Ce sont tous ces enjeux économiques, géopolitiques, géostratégiques et environnementaux que le cours abordera en s’appuyant sur des exemples localisés et variés.

S'inscrire

033019 Image et hypertrucage à l’heure de l’intelligence artificielle

  • Dates des cours : 23janv-30janv-6févr-27févr-6mars-13mars-20mars-27mars
  • Heure de début du cours : 15:15
  • Heure de fin du cours : 16:45
  • Jour du cours : Jeudi
  • Intervenant : Laurent NEYSSENSAS


Laurent NEYSSENSAS

Formé à la photographie, Laurent Neyssensas a exploré et pratiqué des genres aussi variés que la photographie scientifique (Université Paris VI), l’archéologie (Inrap), ou encore la prise de vue publicitaire. Sa curiosité pour la technologie l’a ensuite amené à se spécialiser dans les Technologies de l’Information et de la Communication, où il a abordé différentes spécialités, de la photographie et la retouche numérique à la programmation informatique, avant de se consacrer à l’enseignement. Parallèlement à son activité professionnelle, il développe une pratique artistique centrée sur la photographie plasticienne et, plus largement, sur des installations autour de l’image.

Acquérir les compétences nécessaires pour développer un sens critique aiguisé face aux images

Introduction :
Présentation du thème : le pouvoir des images dans notre société moderne.
Importance du sens critique face aux images : les images sont omniprésentes dans notre vie quotidienne et il est crucial de pouvoir les analyser de manière critique pour éviter les
manipulations et les fausses informations.

I. Comprendre le langage visuel et les codes des images :
Introduction au thème et importance du sens critique face aux images.
Compréhension du langage visuel et des codes des images.
Introduction à la sémiologie de l’image
Les codes visuels dans les médias
Exercices pratiques : observation et analyse d’images pour repérer les codes visuels utilisés.

II. Reconnaître les biais et les manipulations dans les images :
Exercices pratiques d’analyse d’images.
Les biais de sélection et de cadrage : comprendre comment le choix de ce qui est inclus ou exclu d’une image peut influencer notre perception.
Les retouches et manipulations : identifier les techniques de retouche courantes et comprendre leur impact sur la représentation de la réalité.
Les images hors contexte : apprendre à repérer les images utilisées de manière trompeuse pour manipuler l’opinion publique.
Exercices pratiques : analyse d’exemples d’images manipulées et discussion des différentes techniques utilisées.

III. Évaluer la crédibilité des sources et des images :
Exercices pratiques de vérification de sources. Cette répartition permet de couvrir les principaux concepts et compétences liés au développement du sens critique face aux images. La vérification des sources : techniques et outils pour vérifier l’authenticité et la fiabilité des images.
Les sites et les outils de fact-checking : présentation des ressources disponibles en ligne pour vérifier la véracité des images.
Les stéréotypes et les préjugés : comment identifier et remettre en question les stéréotypes véhiculés par les images.
Exercices pratiques : recherche d’informations et vérification de la crédibilité des sources.

Conclusion :
Récapitulatif des compétences acquises : comprendre le langage visuel, repérer les biais et les manipulations, évaluer la crédibilité des sources et des images.
L’importance du sens critique face aux images : comment ces compétences peuvent nous aider à prendre des décisions éclairées et à éviter d’être manipulés.
Appel à l’action : encourager les participants à continuer à développer leur sens critique et à partager ces compétences avec leur entourage.

 

S'inscrire

033101 L’eau sur la planète : disponibilités – utilisations et perspectives en lien avec le changement climatique

  • Dates des cours : 23janv-30janv-6févr-27févr-6mars-13mars-20mars-27mars-3avr-24avr-15mai-22mai
  • Heure de début du cours : 9:00
  • Heure de fin du cours : 11:00
  • Jour du cours : Jeudi
  • Intervenant : Joseph MICHEL


COURS SUPPRIME / information du 23 sept 2024

Joseph MICHEL

L’eau sur la planète : une répartition inégale et des besoins croissants avec le réchauffement climatique, la croissance démographique et les risques de conflits pour son accès. Le partage de l’eau des fleuves entre pays riverains constitue un nouveau débat : l’hydro diplomatie de l’eau. Nous réaliserons un bilan des ressources en eau : les utilisations actuelles, les projets, la rareté et les conflits entre pays pour son partage ainsi que les avancées technologiques pour économiser la ressource. Nous exposerons les solutions actuelles les plus pertinentes pour faire face à son manque et aux changements climatiques. Nous examinerons plus particulièrement les projets et les débats liés au développement des barrages sur les rivières et fleuves comme le Nil, le Mékong, le Tigre et l’Euphrate. Le réchauffement climatique sera exposé à partir des effets prévisibles pour les jeunes générations et les mesures fondamentales à mettre en œuvre.

Programme : 4 cours sur l’exposé de la situation actuelle, 3 cours sur l’utilisation et le partage de l’eau avec des exemples actuels, 2 cours sur le changement climatique, 3 cours sur les solutions envisagées pour les pays et utilisateurs en lien avec le développement des économies.

Pédagogie : avant chaque séance les diapositives seront envoyées aux participants pour préparer commentaires et discussions, pour un cours interactif.

033272 Afrique Noire : histoire et civilisations

  • Dates des cours : 23janv-30janv-6févr-26févr-6mars-13mars
  • Heure de début du cours : 13:30
  • Heure de fin du cours : 15:30
  • Jour du cours : Jeudi
  • Intervenant : Charlemagne SEGBEDJI


COURS SUPPRIME / information du 23 sept 2024

Charlemagne SEGBEDJI

Ce cours se propose d’examiner quelques grandes civilisations africaines et l’histoire de certains grands hommes de l’Afrique noire précoloniale ou coloniale. La période va de l’Afrique médiévale à la période coloniale avec l’arrivée et l’installation des Européens au XIXe siècle.

033301 Atelier des médias

  • Dates des cours : 3oct-10oct-17oct-7nov-14nov-21nov-28nov-5déc-12déc-19déc-9janv-16janv
  • Heure de début du cours : 10:00
  • Heure de fin du cours : 12:00
  • Jour du cours : Jeudi
  • Intervenant : Thibault DUMAS


Thibault DUMAS

Découverte des médias et des réseaux sociaux à partir de rencontres avec des professionnels, journalistes, communicants ou spécialistes d’internet, de visites sur le terrain et de quelques exercices pratiques de décryptage de l’actualité du moment.

  • 1ère heure : présentation du thème, présentation de l’invité, échange avec l’invité
  • 2ème heure : exercices pratiques ou décryptage de l’actualité

La participation à ce cours permet d’accéder librement à toutes les conférences de l’Observatoire des médias.

S'inscrire